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Deux exécutions extrajudiciaires distinctes, perpétrées par des agents des services de sécurité yéménites, ont eu lieu en juillet 2008 et juillet 2009. Malgré les ordres du ministère de l'Intérieur pour que les auteurs soient arrêtés et présentés au parquet, aucune mesure n'a été prise dans le cas de l'exécution de Saleh Al-Wasabi et les coupables courent toujours.
Après 19 mois de détention arbitraire dans une prison des services de renseignements à Sana'a, M. Abdullah Al Rimi a été libéré le 8 décembre 2009. Alkarama avait soumis son cas aux procédures de l'ONU.
Le Comité contre la torture vient de rendre le 19 novembre 2009 ses observations finales provisoires (CAT/C/YEM/CO/2) faisant suite à l'examen du deuxième rapport périodique (CAT/C/YEM/2) qui s'est déroulé le 3 novembre 2009 à Genève.
Le Comité contre la torture vient de rendre le 19 novembre 2009 ses observations finales provisoires (CAT/C/YEM/CO/2) faisant suite à l'examen du deuxième rapport périodique (CAT/C/YEM/2) qui s'est déroulé le 3 novembre 2009 à Genève.
Le 5 juin 2008, Yasser Al-Wazir, en quittant sa maison pour se rendre à la mosquée du quartier pour la prière du vendredi, a disparu en chemin Sa famille n'a pas pu le joindre sur son téléphone portable. Ce n'est que vers la mi-septembre 2008 que sa famille a appris qu'il était détenu à la prison de la Sécurité politique (Amn As-siyassi ) de Sana'a. M.
Ahmad Al-Mahfili, mineur âgé de 17 ans, a enfin été libéré le 11 novembre 2009. Il avait été détenu de façon arbitraire durant plus de 9 mois au siège de la Sécurité politique à Sana’a. Son cas avait été soumis par Alkarama à plusieurs procédures spéciales des Nations-Unies.

Ahmad Mohsen Yahia Ali Al-Mahfili avait été arrêté le 23 février 2009 et détenu au secret pendant 2 mois et demi, avant que les autorités ne reconnaissent sa détention.

Des agents des services de la Sécurité politique à Sana'a ont empêché les journalistes de couvrir le rassemblement pacifique des familles de prisonniers qui s'est tenu en face du quartier général de la Sécurité politique le 10 novembre 2009.
Pour seulement la deuxième fois dans l'histoire du Comité contre la Torture, un examen périodique a pris place en absence de la délégation de l'État concerné - le premier étant celui du Cambodge lors de son examen initial du 29 avril 2003. Alkarama était présent pour l'examen du Comité contre la Torture le 3 novembre 2009, pour lequel elle avait soumis une contribution.
Le Comité contre la torture doit examiner lors de sa 43e session, le 3 novembre 2009, le deuxième rapport périodique du Yémen. Alkarama a présenté dans ce cadre une contribution qui met en relief la situation préoccupante des droits humains dans ce pays.

Le Comité contre la torture doit examiner lors de sa 43e session, le 3 novembre 2009, le deuxième rapport périodique du Yémen. Alkarama a présenté dans ce cadre une contribution qui met en relief la situation préoccupante des droits humains dans ce pays.