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M. Rachid Kebli qui avait été enlevé par des agents du département du renseignement et de la sécurité le 18 octobre 2010 et emmené vers une destination inconnue a été, selon sa famille, transféré récemment à la prison d'El Harrach à Alger.

Alkarama avait informé le Groupe de travail sur les disparitions forcées le 4 novembre 2010, le priant d'intervenir d'urgence auprès des autorités algériennes.

M. Othmane Abdessamed Abdellahoum avait été enlevé le 16 octobre 2010 par des agents du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) à Ain Al-Hadjel (wilaya de M'sila) et disparu. La famille a enfin pu lui rendre visite le 11 novembre 2010 à la prison de Bouira. Il portait les traces des tortures subies.

Alkarama avait adressé un appel urgent le 5 novembre 2010 au Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires, lui demandant d'intervenir auprès des autorités algériennes.
M. Othmane Abdellahoum a été enlevé le 16 octobre 2010 probablement par des agents relevant du département du renseignement et de la sécurité (DRS) à Ain Al Hadjel, wilaya de Msila. Il a disparu depuis.

Alkarama a adressé le 5 novembre 2010 un appel urgent au Groupe de travail sur la disparition forcée lui demandant d'intervenir auprès des autorités algériennes afin qu'il soit libéré ou placé sous la protection de la loi.

Lors de sa session, des 29 mars et 1er avril 2010, au cours de laquelle le statut de l'Institution nationale des droits de l'homme (INDH) algérienne, la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme (CNCPPDH) devait être reconsidéré, le Sous-comité d'accréditation (CIC) a décidé de reporter l'examen à sa prochaine session qui doit se dérouler à partir du 11 octobre 2010.

Alkarama a présenté au mois d'août 2010 au Comité contre la torture une proposition de questions à soumettre à l'Etat algérien dans le cadre du processus d'examen du cinquième rapport périodique.

Malik Medjnoun, en détention provisoire depuis 1999, a reçu la visite du procureur général du tribunal de Tizi Ouzou le 3 août 2010. Ce dernier s'est engagé à fixer son procès lors de la prochaine session criminelle en octobre de cette année.

Le 26 janvier 1996, des agents de la garde communale d’Oudjana, dans la wilaya de Jijel, ont encerclé vers 7 heure du matin les domiciles des familles Yassad et Bousseloub. En raison des coups de feu sur la façade, Mme Nedjma Bouzaout a ouvert la porte et a été tuée à bout portant par l'un des membres de la garde communale.

Malik Medjnoun a entamé une grève de la faim le 25 juin 2010 appelant à enfin être jugé après presque onze ans de détention préventive. Il est accusé de complicité dans l'assassinat du célèbre chanteur Lounès Matoub le 25 juin 1998, ce qu'il a toujours nié.

Il n'en est pas à sa première grève de la faim. A chaque fois, des représentants de l'Etat lui ont rendu visite pour lui faire de fausses promesses et l'inciter à stopper sa grève. Cette fois-ci Malik est décidé de continuer jusqu'à ce qu'une date concrète et officielle pour son procès soit fixée.

Des agents des forces de sécurité combinées se sont rendus au domicile familial de la famille Fedsi le 19 avril 1997 à 6h du matin, et y ont arrêté M. Nasreddine Fedsi.

Le 25 juin 1998, Lounès Matoub, un des chanteurs algériens les plus engagés, est tué par balles par un groupe armé non identifié. Détenu depuis septembre 1999, Malik Medjnoune est accusé de complicité dans cet assassinat, ce qu'il a toujours nié. Malik qu'on surnommait le « petit Matoub » tant il appréciait ses chansons est emprisonné depuis sans jugement.