01 juin 2010
Le Conseil de sécurité appelle à engager une enquête « transparente, crédible, impartiale et rapide » sur le raid contre la flottille humanitaire en route pour la bande de Gaza et exhorte Israël à « libérer immédiatement les navires et les civils détenus » et à « garantir la livraison de l'aide du convoi ».
L'assaut, qui s'est soldé par la mort d'au moins 10 civils, a également été condamné lundi par le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, qui s'est dit « choqué » par le raid meurtrier. Le Conseil des Droits de l'homme de l'ONU a également convoqué une réunion spéciale sur l'incident, mardi à Genève, en Suisse.
Le Conseil de sécurité a également souligné que la situation à Gaza n'était pas « durable ». Il a exprimé son « inquiétude » sur la situation humanitaire, tout en réaffirmant la nécessité de laisser transiter l'aide vers la Bande de Gaza.
À plusieurs reprises, les Nations Unies ont dénoncé le blocus de ce territoire palestinien et fait part de leurs préoccupations quant à l'entrée insuffisante de matériel pour répondre aux besoins élémentaires de la population et poursuivre la reconstruction.
Dans une précédente réunion sur ce dossier, Ban Ki-moon avait fait déjà estimé que le blocus « créait des souffrances inacceptables, affaiblissait les forces modérées et renforçait les extrémistes ».
Le Conseil de sécurité a souligné que la seule « solution viable » au conflit israélo-palestinien était un accord entre les deux parties sur l'établissement de deux Etats indépendants vivants côte à côte en paix. Le Conseil a aussi exprimé son soutien aux pourparlers indirects de paix et son inquiétude sur les conséquences que l'incident pourrait avoir sur ces discussions.
Enfin, le Conseil a appelé les parties à agir avec « retenue » et à éviter « toutes actions unilatérales et provocantes ».
La Haute-commissaire adjointe aux droits de l'homme, Kyung-wha Kang s'est dite choqué « que l'aide humanitaire soit confrontée à une telle violence », lors d'une réunion spéciale sur l'incident organisée mardi au Conseil des Droits de l'homme de l'ONU. « Nous condamnons explicitement ce qui semble être un usage disproportionné de la force », a-t-elle ajouté.
Kyung-wha Kang a réitéré son appel aux autorités israéliennes à lever le blocus sur la Bande de Gaza qui constitue un « affront à la dignité humaine ».
Elle a exprimé son souhait de voir « le gouvernement israélien de prendre les décisions nécessaires afin de démontrer à la communauté internationale un engagement clair pour respecter le droit international ».
Les 47 membres du Conseil des droits de l'homme devraient adopter une résolution à la fin de cette session.
L'assaut, qui s'est soldé par la mort d'au moins 10 civils, a également été condamné lundi par le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, qui s'est dit « choqué » par le raid meurtrier. Le Conseil des Droits de l'homme de l'ONU a également convoqué une réunion spéciale sur l'incident, mardi à Genève, en Suisse.
Le Conseil de sécurité a également souligné que la situation à Gaza n'était pas « durable ». Il a exprimé son « inquiétude » sur la situation humanitaire, tout en réaffirmant la nécessité de laisser transiter l'aide vers la Bande de Gaza.
À plusieurs reprises, les Nations Unies ont dénoncé le blocus de ce territoire palestinien et fait part de leurs préoccupations quant à l'entrée insuffisante de matériel pour répondre aux besoins élémentaires de la population et poursuivre la reconstruction.
Dans une précédente réunion sur ce dossier, Ban Ki-moon avait fait déjà estimé que le blocus « créait des souffrances inacceptables, affaiblissait les forces modérées et renforçait les extrémistes ».
Le Conseil de sécurité a souligné que la seule « solution viable » au conflit israélo-palestinien était un accord entre les deux parties sur l'établissement de deux Etats indépendants vivants côte à côte en paix. Le Conseil a aussi exprimé son soutien aux pourparlers indirects de paix et son inquiétude sur les conséquences que l'incident pourrait avoir sur ces discussions.
Enfin, le Conseil a appelé les parties à agir avec « retenue » et à éviter « toutes actions unilatérales et provocantes ».
La Haute-commissaire adjointe aux droits de l'homme, Kyung-wha Kang s'est dite choqué « que l'aide humanitaire soit confrontée à une telle violence », lors d'une réunion spéciale sur l'incident organisée mardi au Conseil des Droits de l'homme de l'ONU. « Nous condamnons explicitement ce qui semble être un usage disproportionné de la force », a-t-elle ajouté.
Kyung-wha Kang a réitéré son appel aux autorités israéliennes à lever le blocus sur la Bande de Gaza qui constitue un « affront à la dignité humaine ».
Elle a exprimé son souhait de voir « le gouvernement israélien de prendre les décisions nécessaires afin de démontrer à la communauté internationale un engagement clair pour respecter le droit international ».
Les 47 membres du Conseil des droits de l'homme devraient adopter une résolution à la fin de cette session.