21 oct 2010
Ahmed Abdessalam Hassane Almanafi a été enlevé au domicile familial de ses parents, Haï Al Hada’iq à Benghazi le 20 septembre 2010 à 00h15 par des agents de la sécurité intérieure (Al Amn Ad-dakhili). Une vingtaine d’éléments de ce service de sécurité étaient arrivés sur les lieux quelques instants auparavant à bord de nombreux véhicules.
Agé de 18 ans, Ahmed Almanafi est étudiant en première année de médecine à la Faculté de médecine de Benghazi
Au moment de son arrestation, les agents qui n’ont pas présenté de mandat de justice, ont fait usage de violences et ont refusé de dire à son père les raison de leur intervention ; Ils ont également refusé de dire à sa famille le lieu où ils comptaient l’emmener.
Depuis aujourd’hui un mois les parents de Ahmed Almanafi qui ont effectué plusieurs démarches auprès des autorités officielles pour connaître les raisons de son arrestation et le lieu de sa détention continuent à tout ignorer de son sort les services de la sécurité intérieure ne reconnaissant pas détenir la victime.
La famille de la victime exprime ses plus vives craintes que celui-ci ne fasse l’objet de tortures et/ou de mauvais traitements au cours de son actuelle détention au secret.
Alkarama a adressé ce jour un appel urgent au groupe de travail sur les disparitions forcées des Nations unies afin que la victime soit libérée ou, en tout état de cause, placée sous la protection de la loi.
Agé de 18 ans, Ahmed Almanafi est étudiant en première année de médecine à la Faculté de médecine de Benghazi
Au moment de son arrestation, les agents qui n’ont pas présenté de mandat de justice, ont fait usage de violences et ont refusé de dire à son père les raison de leur intervention ; Ils ont également refusé de dire à sa famille le lieu où ils comptaient l’emmener.
Depuis aujourd’hui un mois les parents de Ahmed Almanafi qui ont effectué plusieurs démarches auprès des autorités officielles pour connaître les raisons de son arrestation et le lieu de sa détention continuent à tout ignorer de son sort les services de la sécurité intérieure ne reconnaissant pas détenir la victime.
La famille de la victime exprime ses plus vives craintes que celui-ci ne fasse l’objet de tortures et/ou de mauvais traitements au cours de son actuelle détention au secret.
Alkarama a adressé ce jour un appel urgent au groupe de travail sur les disparitions forcées des Nations unies afin que la victime soit libérée ou, en tout état de cause, placée sous la protection de la loi.