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Le 10 février 2010, Abdul Rahman Koki avait été notamment condamné à un an de prison pour avoir «offensé l'autorité de l'Etat et insulté le Président de la République ". Il ne fait aucun doute qu'il avait été en réalité condamné en raison de ses opinions politiques et religieuses.
Alkarama a suivi l'évolution de sa situation depuis fin octobre 2009 et avait d'abord présenté son cas en urgence aux Rapporteurs spéciaux sur la torture et sur la liberté d'expression le 2 décembre 2009. De plus, Alkarama avait soumis son dossier au Groupe de travail sur la détention arbitraire le 13 janvier 2010.
Alkarama saisit cette occasion pour rappeler aux autorités syriennes leurs engagements en vertu des normes internationales des droits de l'homme et leur dema! nde par conséquent de libérer tous les prisonniers de conscience.