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Le prix Alkarama est décerné chaque année à l'occasion de la Journée des droits de l'homme, le 10 décembre, à une personne ou une organisation qui a contribué de manière significative à la promotion et à la protection des droits de l'homme dans le Monde arabe.

Le 6 août 2014, Alkarama a appelé la Haut Commissaire aux droits de l'homme, Ms Navi Pillay, à demander au Conseil de sécurité des Nations Unies de déférer les crimes de guerre de l'armée israélienne à Gaza devant la Cour pénale internationale (CPI).

Le 8 Juillet 2014, Alkarama a écrit au Rapporteur spécial sur la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniens pour qu'il appelle les autorités israéliennes à enquêter sur l'exécution arbitraire d'un Palestinien de 17 ans, Zakariah Jamal Abu Arram.

BadiaDwaikLe 9 juillet, Alkarama a adressé un appel urgent au Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des défenseurs des droits de l'homme pour qu'il demande aux autorités israéliennes de respecter leur obligation de laisser les défenseurs effectuer leur travail librement.

Kuwait DemonstrationsEntre le 2 et le 7 juillet, les forces de police koweïtiennes ont utilisé la force de manière excessive contre des manifestants pacifiques demandant la libération d'une figure principale de l'opposition, Musallam al Barrak, arrêté pour avoir accusé des juges d'implication dans un récent scandale de corruption.

Alkarama a soumis son rapport alternatif en vue de l'examen périodique universel du Koweït qui aura lieu en mars 2015.

Mr Ahmed Mossad Elmaadawi Mohamed, 29 ans et son beau-père, Mr Abdul Rahim Mohamed Yousef Nour Al Din, 58 ans, tous deux de nationalité égyptienne, ont été arrêtés le 13 Janvier 2014 et le 13 Février 2014 à Abu Dhabi et sont portés disparus depuis.

Maîtriser l'art de la négociation, apprendre à s'accorder des désaccords, et à consentir à des compromis... Le Monde arabe a besoin d'hommes et de femmes qui construisent des ponts entre les communautés et encouragent l'action politique non violente. Sans eux, c'est la porte ouverte à tous les extrémismes. Sans eux, pas de démocratie stable, ni de respect des droits de l'homme. Aujourd'hui, ces personnes, et la société civile en général, sont attaquées par les régimes autoritaires de la région.